La solution suite à des prélèvements microbiologiques non conformes 

Monsieur G.Clupel, responsable du laboratoire de contrôle d’un acteur grandissant du secteur pharma/biotech, à accepter de consigner notre entretien lors de son projet d’étude de rénovation du laboratoire de contrôle.

 Monsieur Clupel travaillait dans un laboratoire classé C, avec  deux postes de sécurité microbiologique. Il gère une équipe de 3 opérateurs.

Voici certaines problématiques et pistes développées lors de notre entretien :

M.Clupel : « J’aimerai sécuriser au maximum mon activité de contrôle, tout en augmentant le nombre d’échantillons à traiter suite à une hausse d’activité de la production. Je souhaite également simplifier le travail de mes opérateurs pour minimiser le risque de faux positif »

 Bioquell : « Une augmentation du nombre de contrôles à réaliser est toujours un challenge pour l’équipe en charge et peut être source de d’erreur lors de la manipulation. Les outils aujourd’hui à disposition tel que les systèmes type isolateur/boite à gants ou environnements contrôlés, permettent de minimiser ces risques, tout en permettant une cadence de traitement journalière importante. Bioquell a développé avec plusieurs acteurs du secteur Pharma/biotech des solutions personnalisées et adaptés à chaque situation, permettant de moduler à volonté les quantités d’échantillons à traiter, solutionner les worst-case, et sécurisé les résultats de l’activité de contrôle. Finalement, peu importe le type de charge ou sa taille, nous pouvons étudier ensemble une solution englobant toutes vos problématiques avec des protocoles adaptés ainsi que des équipements flexible et modulaires »

 M.Clupel : « je souhaiterai néanmoins que les modifications à apporter à mon environnement de travail ne soit pas trop lourdes, mais aussi faciliter l’accès au laboratoire ainsi que l’entrée des échantillons chaque jour »

 Bioquell : « Les derniers équipements que nous avons développé vous permettrons de pouvoir continuer à utiliser votre laboratoire en l’état sans avoir à procéder à de nombreux changements souvent très coûteux. L’intégration de nos systèmes type isolateur  ce fait très simplement sans modifications particulières de l’environnement de travail. Il est même fort probable que les protocoles d’entrée matériel/personnel dans le labo soit simplifiés»

 M.Clupel : « Mais les opérateurs ne sont pas habitué au travail sous isolateur, j’ai peur que cela soit plus compliqué pour eux, et qu’ils ne se perdent dans de nouveaux protocoles complexe de travail »

 Bioquell : « Bien au contraire. Le nouveau système Bioquell Qube, permet le travail dans un équipement type isolateur au point de vue de sécurité tout en ayant les caractéristiques de manipulation sous PSM, en termes d’ergonomie et de facilité de travail. Les opérateurs ne perdrons donc pas leur repères, la manipulation sera simplifiée, et bien plus sécurisée»

 M.Clupel : « Mais j’ai pourtant l’impression que ces équipements type isolateurs sont des installations lourdes, très couteuse avec des procédés de stérilisations qui peuvent prendre plusieurs heures  »

 Bioquell : « Le Bioquell Qube est suffisamment flexible  pour que l’intégration soit la plus simple possible. Le travail sous isolateur est aujourd’hui le seul moyen d’assurer une sécurité totale de l’activité de contrôle puisqu’une barrière sépare physiquement l’opérateur du matériel sur lequel il travail, réduisant donc le risque de faux positif quasiment à 0. Par ailleurs, il est vrai que les coûts d’achats d’isolateurs ‘classiques’ sont souvent très élevés. Néanmoins notre solution vous permet de vous équiper avec des budgets de 10 à 50% moins important. Enfin comme je vous le disais, notre but si nous travaillons ensemble sera de vous proposer la solution la plus adaptée à votre problématique, peu importe les quantités d’échantillons à traité, grâce au procédé de désinfection Bioquell ultra-rapide intégré»

 Conclusion : La sécurisation de l’activité de contrôle, induit une maitrise du risque de faux négatif qui doit être nul, mais également la maitrise du risque de faux-positif pouvant entrainer des pertes financières sèches et souvent une immobilisation coûteuse des systèmes de productions. La gestion des risques est donc un enjeu majeur qui peut être maîtrisé grâce à des systèmes innovants et performants.

Monsieur Clupel à aujourd’hui pu avec une enveloppe budgétaire raisonnable, augmenter son rendement journalier de traitement d’échantillons en maximisant la sécurité de son activité, tout en simplifiant le travail de ses collaborateurs et en évitant des modifications lourdes du laboratoire déjà existant.